Portrait de Christophe Ono-Dit-biot
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à lire : Désagrégée (éditions Plon)
s'auto-décrit comme : humain, profondément humain.
Zone le décrit comme : plutôt agrégé
ses « maîtres » en littérature : Serge Gainsbourg, Polnareff, Barbey d'Aurevilly.
où et quand il écrit : jamais chez lui mais dans des lieux neutres. Jamais le soir. Le matin, très en forme, et encore meilleur après le café du déjeuner.
ses lieux d'inspiration : "l'inspiration ne tient pas au lieu mais au moment."
table de chevet : pas vraiment un livre de chevet, car c'est pour le boulot, mais Cortex, de Hector Macdonald, chez Lattès, premier roman d'un jeune anglais de 26 ans très prometteur. Un polar. Sinon, au chevet, il y a une semaine, Zéro mort de YB, algérien de trente piges qui n'a pas la langue dans sa poche et flingue aussi bien les islamistes que les militaires au pouvoir en Algérie.
scène érotique ou amoureuse préférée dans le cinéma : la fin de Matador , d'Almodovar.
musique la plus touchante : Variations sur Marilou de Gainsbourg m'arrache des larmes.
un coin de Paris : la sortie du métro Barbès, devant Tati.
ce qu'il déteste en lui : la remise en question permanente.
ce qui le flatte le plus : la remise en question permanente
le moment le plus embarrassant de sa vie : quand il faut qu'il se tire d'embarras.
son plus gros mensonge : se faire passer pour une fille.
s'il était invisible : on ne le verrait pas.
s'il était du sexe opposé : il pourrait donner la vie.
phrase fétiche : "Un crime n'est jamais vulgaire, mais toute vulgarité est un crime" Oscar Wilde (a hésité à le mettre en épigraphe de Désagrégée(e) ).
projets à court terme : écrire, enfin, son second roman. Vivre des nuits d'amour à Istambul, et prendre une bonne douche.
Florian Zeller
Christophe Ono-Dit-Biot
Ed.
0 p / 0 €
ISBN:
s'auto-décrit comme : humain, profondément humain.
Zone le décrit comme : plutôt agrégé
ses « maîtres » en littérature : Serge Gainsbourg, Polnareff, Barbey d'Aurevilly.
où et quand il écrit : jamais chez lui mais dans des lieux neutres. Jamais le soir. Le matin, très en forme, et encore meilleur après le café du déjeuner.
ses lieux d'inspiration : "l'inspiration ne tient pas au lieu mais au moment."
table de chevet : pas vraiment un livre de chevet, car c'est pour le boulot, mais Cortex, de Hector Macdonald, chez Lattès, premier roman d'un jeune anglais de 26 ans très prometteur. Un polar. Sinon, au chevet, il y a une semaine, Zéro mort de YB, algérien de trente piges qui n'a pas la langue dans sa poche et flingue aussi bien les islamistes que les militaires au pouvoir en Algérie.
scène érotique ou amoureuse préférée dans le cinéma : la fin de Matador , d'Almodovar.
musique la plus touchante : Variations sur Marilou de Gainsbourg m'arrache des larmes.
un coin de Paris : la sortie du métro Barbès, devant Tati.
ce qu'il déteste en lui : la remise en question permanente.
ce qui le flatte le plus : la remise en question permanente
le moment le plus embarrassant de sa vie : quand il faut qu'il se tire d'embarras.
son plus gros mensonge : se faire passer pour une fille.
s'il était invisible : on ne le verrait pas.
s'il était du sexe opposé : il pourrait donner la vie.
phrase fétiche : "Un crime n'est jamais vulgaire, mais toute vulgarité est un crime" Oscar Wilde (a hésité à le mettre en épigraphe de Désagrégée(e) ).
projets à court terme : écrire, enfin, son second roman. Vivre des nuits d'amour à Istambul, et prendre une bonne douche.
Florian Zeller
Christophe Ono-Dit-Biot
Ed.
0 p / 0 €
ISBN:
Last modified ondimanche, 26 avril 2009 14:55
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