Dim 01 Mai 2011 |
Écrit par Camille Paulian
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| | Mauvais genre est le deuxième roman d’une jeune auteur anglaise, Naomi Alderman. Nous replongeant dans la vie de campus, il a pourtant toute la fraîcheur et l’énergie des premiers romans.
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On ne parle pas assez d’Andrès Barba en France et c’est un tort. Car c’est un écrivain, un vrai, de ceux qui vous rappellent ce que veut vraiment dire « langage poétique ». Un talent qu’il exerce brillamment dans ses Versions de Teresa.
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Mar 26 Avr 2011 |
Écrit par Laurence Bourgeon
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| | Quelque part en Suisse, au début des années 60, un flux migratoire inattendu a conduit une communauté d’acteurs à s’installer et investir une ville dans laquelle ils joueraient leur rôle à vie. À mi-chemin entre uchronie et utopie, Patrice Blouin scrute les interrogations des artistes en particulier, des hommes en général, sans oublier de décortiquer les mécanismes du politique dont l’écho se fait particulièrement contemporain.
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Quand on n'a que De Gaulle et la science... L'histoire de Louis Lémure, employé modèle chez Caducée, est celle d'une folie ambitieuse nourri d'une découverte aussi importante que délère, celle d'un antibiotique. Etrange pertinence de ce premier roman.
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Jeu 21 Avr 2011 |
Écrit par Laurence Bourgeon
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| | Hanté par le souvenir de son refus, adolescent, de danser avec une jeune Mexicaine et marqué par la mort d’une fillette victime d’une balle perdue, Brando Skyhorse donne voix à une dizaine de ces immigrés de Los Angeles. Loin d’Hollywood, un anti-portrait dur mais vivant, dénué de tout mélo et empli de poésie.
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Qu'y a-t-il de plus désespérant qu'une réunion de parents d'élèves ? Peut-être l'assurance de devoir assister à une multitude d'autres, des années durant, parce qu'une aventure sans lendemains vous a collé un polichinelle dans le tiroir. Cette situation, c'est celle de Bonnie, entre deux âges, entre deux hommes, entre deux gosses : A 39 ans et avec un mari aux abonnés lointains en tournée sud américaine, la vie n'a rien de facile, ni d'attrayant. La solution est pourtant à portée de table de nuit. Un verre d'eau, une pilule, un shot de sérotonine plus tard et la majorité des problèmes s'éloignent comme un train dans la nuit. La nuit. C'est précisément ce qui amène Bonnie à consulter puis ingérer tant de pharmacologie. La pauvresse ne dort pas, ne dort plus. En dernier recours, cela l'amène à consulter à l'hôpital pour une polysomnographie. L'interne n'a rien de séducteur, il l'abandonne même pendant la nuit où il est sensé la surveiller. C'est le deuxième comparse de cette intrigue qui se noue au rythme d'un python sous Haldol : Ian Ogelvie. L'inventeur d'une molécule majuscule au nom un rien emphatique de dobadulax. Inutilité sourde
Citer Forrest Gump en exergue d'une chronique de roman doit inquiéter sur la qualité dudit livre. Voici pourtant une citation de Forrest Gump : "La vie est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber "
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