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Portrait de Guillaume Ch�rel
A lire : Les Enfants rouges (Flammarion).
Vous vous auto-d�crivez comme : individualiste-altruiste-communarchiste-agnostique... sans tactique.
Ecrivains admir�s : Jack London, Ernest Hemingway, Jack Kerouac, Blaise Cendrars, H. Miller...
lieux d'inspiration : le p�riph�rique... et les grands espaces.
livre sur la table de chevet : Martin Eden et le Voyage au bout de la nuit
musique favorite : le blues et le jazz
un coin � Paris : le Pont Neuf, je ne m'en lasse pas, depuis que j'ai boss� dessus quand Christo l'a emball�...
Ce que vous d�testez en vous : ma na�vet�, ma violence, ma parano�a...
Ce qui vous flatte le plus : qu'on me dise que je suis s�duisant... et que j'�cris bien.
Le moment le plus embarrassant de votre vie : r�cemment, je me suis aper�u apr�s quelques heures, durant les "24 h du livre du Mans" (salon litt�raire) que j'avais une grosse tache marronasse du plus mauvais effet... au plus mauvais endroit, sur un pantalon blanc. R�dibitoire pour s�duire...
Votre plus gros mensonge : Que je n'�tais pas un menteur... En fait, je mens tr�s bien, sauf � moi-m�me.
Votre insulte pr�f�r�e : Encul� !
Qui aimeriez-vous insulter ? : Jean Marie Lepen, Gustave Pinochet et George Bush
Si vous �tiez invisible : j'irais au Pulp les soirs r�serv�s au filles...
Si vous �tiez du sexe oppos� : j'irais au Pulp... j'aimerais les femmes !
Phrase f�tiche : � On a qu'une vie... jusqu'� preuve du contraire �, de mo�. Et/ou "Cultive ce qu'on te reproche, c'est toi", Jean Cocteau (?).
Projets � court terme : avoir du succ�s avec Les Enfants Rouges pour �tre encore plus libre d'�crire et de voyager.
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